Q SCOOP – Ces scientifiques dissidents qu’il faut faire taire au nom du consensus.


Ces scientifiques dissidents qu’il faut faire taire au nom du consensus.

Voir l’article Qactus ICI :

Publié le 19.5.2021 par LHK



Alors que le professeur Jean-Bernard Fourtillan moisit en prison, voici qu’un médecin urgentiste Denis Agret (ci-dessus dans un débat contradictoire face à Alex Sam docteur en biologie sur la chaîne Le Média) est actuellement en garde à vue. (Cf Richard Boutry ici: La Minute de Ricardo ). Et quel crime ont commis ces personnes? Elles n’ont pas respecté le consensus mis en place par les technocrates de la Planète finance.

Un an après l’émergence de l’épidémie covidienne, un constat est à poser: les personnes au pouvoir veulent faire passer des messages à la masse de la population, et s’agacent profondément des voix dissonantes. Le consentement est requis et les outsiders sont qualifiés de complotistes.

Dans cet environnement de consentement généralisé, le président français veut intensifier sa lutte contre le complotisme comme un « enjeu majeur ». Critiques, contradicteurs et paranoïaques sont avertis. https://www.lemonde.fr/politique/article/2021/01/18/la-macronie-veut-intensifier-sa-lutte-contre-le-complotisme_6066629_823448.html

Or, les citoyennes et les citoyens qui portent dans leur ADN les gènes de la liberté veulent pouvoir s’exprimer et surtout exprimer leur opposition à des messages préformatés qui tendent hélas à s’éloigner tous les jours un peu plus de la rigueur scientifique à laquelle ils ont été autrefois habitués.

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L’espace public s’est replié sur lui et ne tolère plus les contradicteurs. Dans les années 2000, le prix Nobel d’économie, Maurice Allais, qui avait anticipé, dans sa critique du système financier, la crise des subprimes s’est vu subitement interdit des tribunes et plateaux des médias. Il dira qu’il était devenu un Nobel téléspectateur. Il faut dire que les médias financiarisés n’avaient aucun intérêt à le voir critiquer leurs patrons nourriciers.

Les mêmes causes produisent les mêmes effets dans un autre domaine plus actuel. Il s’agit des vaccins à ARN et à ADN. Et là, nous avons une généticienne brillante qui a un parcours académique et scientifique à faire pâlir bon nombre de ceux qui ne sont que des communicants payés par les laboratoires et les industriels de Big Pharma. Pourtant, eux peuvent parler à longueur de journée, mais pas elle.

Le problème dans le cas qui nous préoccupe, c’est que l’on parle de vies humaines. Nous assistons en direct à des situations effarantes du genre de voir que 23 personnes décèdent dans les jours qui ont suivi l’injection du vaccin. Et malgré le fait que treize autopsies aient révélé que les effets secondaires du vaccin ‘peuvent avoir mené’ à de funestes conséquences chez ces personnes âgées et fragiles, on poursuit la campagne…

D’ailleurs, on comprend mal pourquoi on a commencé à vacciner les personnes qui ont été peu, ou pas, prises en compte dans le protocole de validation des produits. Typiquement, Pfizer/BioNTech n’ont pas inclus les patients souffrant de maladies instables ou aiguës – et ont inclus très peu de participants de plus de 85 ans’.

‘Les rapports indiquent que les effets secondaires courants des vaccins à ARNm, tels que la fièvre et les nausées, peuvent avoir entraîné la mort de certains patients fragiles’, a déclaré Sigurd Hortemo, médecin en chef de l’agence.

Agence norvégienne des médicaments.

Et alors que nous nous inquiétons depuis de longs mois du sort réservé aux personnes âgées dans les EHPAD et autres EMS, et que nous nous interrogeons sur les conclusions à tirer en matière d’euthanasie éventuelle, les scientifiques dissidents sont invités à se taire. Certains finissent en prison alors que les criminels de la crise des subprimes et de ses conséquences n’ont pas été inquiétés.

Rappelons que les responsables de la fausse étude du Lancetgate n’ont pas été inquiétés.

Le Lancet gate révèle l’asservissement de la Science par une petite élite de la haute finance.

Alexandra Henrion-Caude nous a aidés depuis de longs mois à déchiffrer certaines données hermétiques de la génétique. Cette scientifique de très haut niveau et surtout très pointue dans le domaine de la thérapie par l’ARN a vu sa page Wikipédia ainsi que ses vidéos censurées. Et si vous faisiez des recherches sur elle, Google vous mettra en avant les messages de ses censeurs. Quant à l’accès à ses travaux scientifiques, plusieurs fois primés, ce sera beaucoup plus compliqué…

Avant de vous laisser avec un entretien que Le Mauricien a eu avec AHC, dans lequel elle anticipait les observations que nous faisions récemment en matière d’effets secondaires sévères sur certains vaccinés, je vous mets la définition du totalitarisme.

Question: est-ce que le consensus scientifique obligatoire est une des facettes du totalitarisme contemporain?

Un membre de l’Académie des Sciences- Institut de France- demande la libération du Prof Fourtillan.

Les personnes vulnérables semblent pénalisées par le vaccin. Pourquoi persister? Sont-ils devenus des indésirables?


Alexandra Henrion Caude : « Les vaccins pourraient ne pas être adaptés à la population à risque » Janvier 2021

Quel impact a la vaccination anti-Covid sur la circulation du virus?`

Aucun pays n’a le recul suffisant pour le savoir. D’ailleurs, le British Journal of Medicine vient de publier un article se plaignant du peu de données publiées et demandant aux différents laboratoires pharmaceutiques de publier leurs données brutes. Je les cite:

« Addressing the many open questions about these trials requires access to the raw trial dataBut no company seems to have shared data with any third party at this point. »

«Répondre aux nombreuses questions ouvertes sur ces essais nécessite d’accéder aux données brutes des essais. Mais aucune entreprise ne semble avoir partagé de données avec un tiers à ce stade. »

En plus, il est très difficile de connaitre le besoin des populations en matière de vaccin parce qu’on ne sait pas du tout la part qui a déjà eu la COVID-19. Il est très probable que de nombreuses personnes ait eu des symptômes, qu’on décrivait à tort à l’époque (fin 2019-2020) comme n’étant qu’une toux sèche et de la fièvre, alors qu’on a su qu’on pouvait avoir des symptômes très divers (allant d’une grosse fatigue à des atteintes aux yeux ressemblant à des conjonctivites). Dans les essais, par exemple de Pfizer, les personnes ayant eu déjà la COVID-19 étaient exclues de l’essai. Et nous n’avons aucun résultat sur la catégorie de personnes entre 56 et 85 ans.

Il y a un autre souci qui ne permet aucune anticipation. Qui peut en effet connaitre l’efficacité des vaccins anti-covid sur les nouveaux variants ? Et des nouveaux variants, il y en a tout le temps. En France, à Marseille, ils en ont recensé huit. Autre problème. Personne ne connait l’impact que vont avoir les vaccins sur les diabétiques. Du coup, il semblerait plus prudent d’adopter une politique de prévention, en vérifiant les niveaux de vitamine D. On a en effet vu dans des études sérieuses et convaincantes que le faible niveau de vitamine D était lié aux formes les plus sévères de COVID-19.

Source :  Blog BMJ


Que signifie un vaccin qu’on dit efficace à 75-90% ? Est-ce une garantie d’une efficacité suffisante contre la pandémie? 

La signification de cette « efficacité » est une notion technique hélas, mais c’est effectivement une question fondamentale qui a beaucoup étonné, et qui mérite qu’on essaie de comprendre le changement par rapport à d’habitude. Techniquement, on parle de 75-90% de l’efficacité supérieure du vaccin par rapport à un placebo, au sujet d’un « primary outcome ». Cependant le « primary outcome » a été défini sur une période de 2 ans. Comme les délais ont été accélérés, les laboratoires ont obtenu des mesures dérogatoires. Ils ont du coup changé cette notion d’efficacité et axé sur le pourcentage de participants qui ont fait des anticorps.

Ce qu’il faut bien comprendre avec un coronavirus, c’est que les anticorps qu’on fabrique par le vaccin, ne sont pas forcément des « gentils » anticorps, qui « neutralisent » le virus. Ils peuvent être des « méchants » anticorps, qu’on dit « facilitants », car ils facilitent l’entrée du virus dans la cellule, ce qui peut donner des formes empirées du COVID-19 à cause du vaccin. C’est ce qu’on appelle l’effet Antibody-Dependent Enhancement (ADE). Cela peut aussi provoquer spécifiquement une atteinte au niveau des poumons, qu’on appelle Enhanced Respiratory Disease (ERD).

C’est à cause de ce risque, qui a tué de nombreux modèles animaux, que les vaccins anti-MERS et anti-SRAS n’ont jamais été approuvés. C’est aussi sur ce risque causé par les vaccins anti-coronavirus, et donc possiblement anti-covid, que des scientifiques ont demandé un spécifique « informed consent ». Je cite « disclosure of the specific risk of worsened COVID-19 disease from vaccination calls for a specific, separate, informed consent form and demonstration of patient comprehension in order to meet medical ethics standards ».

Source : Pub Med

Cardozo, Timothy, and Ronald Veazey. “Informed consent disclosure to vaccine trial subjects of risk of COVID-19 vaccines worsening clinical disease.”

Cardozo, Timothy et Ronald Veazey. «Divulgation du consentement éclairé aux sujets des essais vaccinaux du risque que les vaccins COVID-19 aggravent la maladie clinique.»

International journal of clinical practice, e13795. 28 Oct. 2020, doi:10.1111/ijcp.13795

Maurice en tant que membre de la Gavi Alliance s’est assurée d’être fourni pour un vaccin contre la Covid à travers l’OMS, peu importe le producteur. Est-ce avisé d’utiliser n’importe lequel des vaccins mis sur le marché?

Plus que jamais dans l’histoire des vaccins, chaque vaccin anti-covid a ses propres spécificités.

De nombreuses stratégies n’ont jamais été utilisées auparavant chez l’homme. Elles sont donc expérimentales. Par exemple, les stratégies des vaccins à ARNm (laboratoires Moderna et Pfizer/BioNTec), ou celles des vaccins OGM (laboratoires chinois Cansino Biologics et Beijing Wantai Biological ; indien (Gamaleya) et anglais AstraZeneca/Oxford) sont utilisées pour la première fois, sans avoir le recul sur les évènements secondaires sévères, qui est normalement de 2 ans, mais qui a été réduit à 6 mois. Tout gouvernement, comme tout médecin administrant ces vaccins, doivent être tenus responsables du risque si ces effets sévères s’ils arrivent, puisque les laboratoires ont refusé d’endosser ce risque, et qu’avec les délais raccourcis, nous n’aurons pas d’historique auquel nous référer. Au-delà des spécificités des vaccins, ce sont donc des délais anormalement raccourcis qui ne permettent pas une évaluation attendue de la balance bénéfice-risques.

Pour prendre une décision avisée, il faut évaluer les risques d’un côté et les bénéfices de l’autre. Grâce à la meilleure connaissance du virus et des traitements antiviraux, les risques de décès de la COVID-19 ont considérablement chuté (sauf à quelques exceptions près, comme la France).

Ces traitements qui sont définis autour de l’ivermectine, ou de l’azithromycine, ou du triptyque à base d’hydroxychloroquine, ont permis que dans la plupart des pays, la probabilité de survivre à la COVID-19 oscille désormais de 99.5% à 99.9997% de survie pour les moins de 70 ans. Au-delà de 70 ans, cette probabilité de survie atteint quand même 94.6% (Source : CDC, September 2020). Compte-tenu de cette extraordinaire diminution de la dangerosité de la COVID-19, on comprend que la prise de risques avec le vaccin doit être quasi-nulle.

Source : CDC

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Pr Alexandra Henrion Caude, Généticienne, Directrice de recherche de l’Institut SimplissimA


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