Q SCOOP – Nucléaire : Israël réussit à torpiller le rapprochement entre les États-Unis et l’Iran.


Vous voyez que tout vient a point, même Europe 1 chaîne de MMS (Média Main Stream), commence à ouvrir les yeux et nous l’explique concernant les USA, l’Iran et Israël. 

En effet, une petite explication rapide, Joe Biden est coincé, D. Trump a bien fait les choses. En effet l’Iran pays du terrorisme mondial et maintenant financé par le PCC-chinois (voir explication n°1 ci-dessous) sont les amis de Joe Biden et celui-ci voulait entamer des relations diplomatiques entre les USA et l’Iran (normal pour les vont en guerre démocrate-américains, il a besoin de l’Iran pour créer des conflits ou autres groupes armés) et le porte-drapeau Biden grand ami du PCC-chinois, à travers son fils Hunter Biden, se retrouve bien coincé. Pourquoi, parce que D. Trump avait préparé le terrain pour justement qu’aucune guerre ne se face, en empêchant l’Iran de vendre son pétrole à qui ? La Chine justement, et ce, pour continuer ses financements nucléaires. 

Les démocrates-américain avec le Deep-state, avancent sur trois axes pour déclarer des conflits armés (guerres) dans le monde. Suivez bien.

  • Le premier : l’Europe et l’Ukraine avec l’Otan comme excuse pour provoquer la Russie.
  • Le deuxième : L’Iran comme excuse pour embraser le moyen orient avec Israël.
  • Le troisième : Taiwan avec la mer de Chine pour provoquer la Chine directement.

Ne perdez jamais de vue pour mieux comprendre qu’avec le Deep state tout est inversé, il n’a qu’un objectif celui de la destruction du monde, pour mieux en prendre le contrôle ensuite a la méthode PCC-chinois de surveillance de masse, de contrôle par la mise en esclavage des peuples et de leurs cryptomonnaies ou autre passeport santé. Ils le gèrent de la façon suivante par les attentats sous des faux drapeaux (appelé aussi false-flag), les guerres, le covid, les vaccins, etc. et ce avec leur slogan bien connu maintenant par les Francs-maçons, oui, car tout est lié (Ordo Ad Chaos = L’ordre par le Chaos) (voir une explication par une loge maçonnique ici) tout cela pour la destruction de l’humanité.

  • Le Deep state chinois (PCC chinois) n’est pas la Chine, le peuple Chinois souffre autant que nous,
  • Le Deep State Iranien est le bras armé du Deep-sate US pour le moyen-orient et ailleurs, le peuple Iranien souffrent autant que nous.

Le Deep-state Ukrainien est pris à son propre-jeux, le peuple Ukrainien souffrent autant que nous, car le vrai peuple lui est divisé pour moitié : une partie veut entrer dans l’Europe et l’autre (Dombass) entré dans la Russie.

Le Deep-state Ukrainien avec les Deeps-states US et Européen, se sert sous couvert de l’Otan à provoquer la Russie. Mais pour l’Ukraine et l’Europe, un nouvel acteur vient de fausser les cartes de ceux-ci, qui est la Turquie qui elle ne veut plus rentrer dans l’Europe (voir l’article Qactus sur la Turquie ICI), mais par contre à des ambitions de conquête de territoires à l’est, syrien, et ukrainien, etc. En résumé, le Deep-state divise les pays en deux et par le fait divise le monde en deux, c’est un combat entre le bien et le mal. Ouvrez les yeux et mettez bien les noms sur les bonnes personnes et les actes sur les bons pays. Rien n’arrive par hasard tout est prévu par le Deep-state. Mais là, ils perdent en vitesse d’exécution.

Voici un exemple d’accusation inversé ce matin : « L’Otan demande à la Russie de mettre fin immédiatement au déploiement de son armée à la frontière ukrainienne ».

La vérité : « La Russie accuse l’Otan de transformer l’Ukraine en poudrière. La Russie accuse la Turquie d’avoir vendu des armes à l’Ukraine dont des drones, la Russie est mécontente. Le porte-parole du MAE russe : « Ils nous disent que vous allez payer un prix élevé, mais ils ne mentionnent jamais ce prix. Nous ne protégeons que les intérêts de nos citoyens et continuerons de le faire. Les États-unis sont notre ennemi. Ils ne font que nous faire du mal. » La Russie suspend ses vols charters vers la Turquie, officiellement pour raison COVID. Donc la Russie cesse d’envoyer des touristes vers la Turquie, Moscou conseille à Washington de rester à l’écart des côtes de la Fédération de Russie en Crimée et de la côte russe de la mer Noire Ministère des Affaires étrangères ».

Vous voyez, c’est simple la covid sert a tout. Le Deep State Russe est tombé grâce à poutine, vous entendrez parler de plus en plus de la Russie et de Poutine les mois prochains, le nettoyage continu.

*Deep-state = aussi appelé État-profond.

Revenons au conflit Iranien et écouter bien la fin: « Quel que soit le choix Joe Biden apparaît coincé par les choix de son prédécesseur… »

Publié le 14.04.2021 à 7h23


LE REGARD INTERNATIONAL EST UNE CHRONIQUE DE L’ÉMISSION EUROPE MATIN – 7H-9H


Explication N°1

Les enjeux de l’accord entre l’Iran et la Chine

Publié le 12.04.2021 par Thomas Del Beccaro

Le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif (à dr.) et son homologue chinois Wang Yi après avoir signé un accord à Téhéran, en Iran, le 27 mars 2021. (-/AFP via Getty Images)
Le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif (à dr.) et son homologue chinois Wang Yi après avoir signé un accord à Téhéran, en Iran, le 27 mars 2021. (-/AFP via Getty Images)

L’alliance naissante entre les deux pays les plus dangereux du monde la Chine et l’Iran est un événement d’importance majeure qui a été peu couvert par les médias en Occident.

La Chine vise carrément à dominer le monde. Il suffit d’observer ses démarches ou de jeter un regard sur ses plans officiels. Pour y parvenir, l’État-parti chinois doit poursuivre sa croissance économique. Pour arriver à maintenir cette croissance, il a besoin de pétrole.

L’Iran, le premier sponsor mondial du terrorisme, a des visées de domination du Moyen-Orient. Le régime de Téhéran ne le cache pas trop non plus. Pour y parvenir, il a besoin d’argent. Pour obtenir de l’argent, il doit vendre du pétrole.

L’alliance croissante entre la Chine et l’Iran, y compris la promesse de Pékin permettant à l’Iran de lui vendre son pétrole, devrait plus qu’inquiéter tout le monde.

Le 27 mars 2021, la Chine et l’Iran ont signé un accord de « partenariat stratégique » de 25 ans portant sur des aspects économiques, politiques et militaires. Peu de détails de cet accord ont été rendus publics, ce qui n’a surpris personne, étant donné qu’il a été conclu entre deux régimes autoritaires.

En rapportant sur cet accord, le journal d’État chinois Beijing News a souligné dans son édition du 28 mars : « La Chine et l’Iran ont les mêmes fauteurs de troubles les grands pays occidentaux dirigés par les États-Unis. »

Le New York Times a informé que « dans le cadre de cet accord, la Chine investira quelque 400 milliards de dollars en Iran en échange de pétrole. Les deux pays vont également intensifier leur coopération militaire avec des exercices d’entraînement communs, des recherches et des échanges de renseignements ».

Bref, la Chine obtient l’approvisionnement en pétrole qu’elle souhaite désespérément pour alimenter ses ambitions mondiales ceci sans se soucier de l’image qu’elle aura en Occident qui est obsédé par les idées de changement climatique et réchauffement de la planète.

Quant à l’Iran, le Times of Israel a noté à juste titre que cet accord paralyse effectivement les sanctions qui lui avaient été imposées par les États-Unis. Grâce à lui, l’Iran obtiendra l’argent dont il a besoin pour poursuivre ses ambitions militaires.

Certes, l’accord avec l’Iran de l’ancien président Barack Obama nous a appris que le régime des mollahs n’utilisait pas l’argent provenant de l’Amérique pour effectuer des œuvres de charité à l’intérieur du pays. Même John Kerry, le « gentil » secrétaire d’État d’Obama, a dû admettre qu’une partie de cet argent allait au terrorisme.

Le montant du nouvel accord 400 milliards de dollars éclipse celui de l’accord d’Obama et mettra l’Iran sur la voie de l’obtention d’armes nucléaires, probablement en moins d’une décennie. Toutefois, à court terme, il donne à l’Iran la capacité de financer ses opérations de guerre conventionnelle au Moyen-Orient, dont j’ai déjà parlé en 2015, lorsque l’accord d’Obama a été annoncé, dans un article intitulé « Iran’s other victory – The nuclear deal also cemented the regime’s conventional war gains » (Une nouvelle victoire de l’Iran l’accord nucléaire a également consolidé les gains de guerre conventionnelle du régime).

Bien qu’on ne soit même pas sûr de savoir aujourd’hui qui est réellement aux commandes à la Maison-Blanche.

Personne ne peut sérieusement croire que Joe Biden est un homme politique vigoureux. Le président John Kennedy a montré qu’il en était un, par exemple par sa gestion de la crise des missiles de Cuba. Cependant, Joe Biden n’est pas John Kennedy.

Joe Biden n’est pas non plus un Ronald Reagan ou un Donald Trump. Il n’est pas capable de projeter la force nécessaire pour parvenir à la paix par la force.

En outre, son équipe s’est engagée à réduire la puissance économique des États-Unis en adoptant les politiques du Green New Deal, notamment en revenant dans l’accord de Paris sur le climat, ce qui fait le jeu de Pékin. En s’infligeant une faiblesse économique au niveau national, l’administration Biden et l’élite du Parti démocrate limitent la capacité de l’Amérique à réagir au niveau international et à faire face au grave défi que représente l’État-parti chinois pour la liberté dans le monde.

Nous savons également que Biden voulait conclure avec l’Iran un accord de type similaire à l’accord d’Obama, qui lèverait les sanctions américaines et laisserait l’Iran vendre le pétrole et obtenir l’argent nécessaire à la réalisation de ses ambitions. Bien que ce soit des nouvelles anciennes. Le régime des mollahs a maintenant un nouveau bienfaiteur le régime communiste chinois.

Que va faire l’administration Biden en réponse à cette alliance très dangereuse qui est en train de se former ? La réponse probable est qu’elle fera peu de choses, ce qui non seulement assure qu’on aura quatre années de vie dangereuse sous cette administration, mais menace également la stabilité mondiale à un très long terme.


Explication N°2

L’Iran accuse Israël d’une attaque sur un centre nucléaire et crie « vengeance »

Publié le 12.04.2021 Par Epoch Times avec AFP

-Une vue générale montre le centre iranien de recherche nucléaire de Natanz, à 270 km au sud de Téhéran. Photo par Henghameh Fahimi / AFP via Getty Images.
-Une vue générale montre le centre iranien de recherche nucléaire de Natanz, à 270 km au sud de Téhéran. Photo par Henghameh Fahimi / AFP via Getty Images.

L’Iran a accusé, sans preuves, lundi Israël d’être derrière l’attaque contre son usine d’enrichissement d’uranium de Natanz et a promis une « vengeance », au milieu d’efforts diplomatiques pour remettre sur les rails l’accord international de 2015 censé encadrer le programme nucléaire iranien.

C’est dans cette même usine, au sein du complexe nucléaire de Natanz, l’un des centres névralgiques du programme atomique de la République islamique, que Téhéran a mis en service ou commencé à tester samedi de nouvelles cascades de centrifugeuses.

Raffinement interdits par l’accord de 2015

Ces machines offrent à l’Iran la possibilité d’enrichir plus vite et en plus grande quantité de l’uranium, dans des volumes et à un degré de raffinement interdits par l’accord de 2015.

Dimanche, l’Organisation iranienne de l’énergie atomique (OIEA) avait annoncé que l’usine d’enrichissement de Natanz, dans le centre du pays, avait subi dans la matinée un « accident », qualifié d’acte de « terrorisme », ayant entraîné une « coupure de courant » et n’ayant fait « ni mort, ni blessé, ni pollution ».

Il est encore « trop tôt » pour déterminer les dommages matériels causés par l’attaque », a déclaré lundi le porte-parole des Affaires étrangères iranien, Saïd Khatibzadeh, en conférence de presse à Téhéran. « Il faut inspecter chacune des centrifugeuses pour donner un bilan des dégâts. »

« Avec cette action, le régime sioniste a bien sûr essayé de se venger du peuple iranien pour la patience et la sagesse dont il a fait preuve (en attendant) la levée des sanctions » américaines, a-t-il affirmé.

L’Iran accuse Israël de saborder les discussions en cours à Vienne (sans preuves)

Il a ainsi accusé indirectement Israël de saborder les discussions en cours à Vienne pour tenter de faire revenir les Etats-Unis dans l’accord international de 2015 et de lever les sanctions rétablies par Washington contre Téhéran.

« Si (l’attaque) visait à limiter la capacité nucléaire de l’Iran, je dirais en revanche que toutes les centrifugeuses qui (ont été endommagées) étaient du type IR-1 » (c’est-à-dire de « première génération », NDLR), a encore dit M. Khatibzadeh.

« Faites savoir à tout le monde qu’elles seront assurément remplacées par des machines plus avancées », a-t-il ajouté, promettant que « la réponse de l’Iran sera la vengeance contre le régime sioniste au moment et à l’endroit opportun ».

Selon l’agence de presse officielle Irna, des députés ont indiqué que le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, avait « insisté (…) sur la nécessité de ne pas tomber dans le piège tendu par les sionistes ».

« Mais nous ne permettrons pas (qu’Israël fasse dérailler les discussions de Vienne) et nous nous vengerons des sionistes pour ces actions », aurait-il déclaré de même source lors d’une réunion à huis clos au Parlement consacrée à l’attaque contre Natanz.

Usine  de centrifugeuses à Natanz endommagée

Les Etats-Unis, sous la présidence de Donald Trump, ont dénoncé unilatéralement en 2018 l’accord sur le nucléaire iranien conclu à Vienne trois ans auparavant, rétablissant dans la foulée les sanctions américaines qui avaient été levées en vertu de ce pacte.

En riposte, l’Iran s’est affranchi depuis 2019 de la plupart des engagements clés limitant ses activités nucléaires qu’il avait pris à Vienne. Joe Biden, qui a succédé à M. Trump en janvier, a signalé son intention de réintégrer l’accord de Vienne.

Téhéran a toujours nié vouloir se doter de la bombe atomique et le président Hassan Rohani a répété samedi que toutes les activités nucléaires de son pays étaient purement « pacifiques ». 

Début juillet 2020, une usine d’assemblage de centrifugeuses perfectionnées à Natanz avait été gravement endommagée par une mystérieuse explosion.

Les autorités ont conclu à un « sabotage » d’origine « terroriste » mais n’ont pas encore fait connaître les résultats de leur enquête. L’agence officielle Irna avait alors mis en garde Israël et les Etats-Unis contre toute action hostile.

Mercredi, M. Netanyahu a prévenu, à propos des discussions de Vienne, qu’« un accord avec l’Iran qui ouvrirait la voie aux armes nucléaires (…) ne serait d’aucune façon contraignant » pour son pays.


Source 1

Source 2