Q INFOS – Liste de francs-maçons du Parti Socialiste, et bien plus.


Avant tout, et suite à la dernière information de cet article du 03.02.2021 sur Qactus, et aussi avant de lire cette folie, penser toujours au 33e degrés, afin de comprendre que ces pauvres bases sont complètement manipulés par leurs propres maitres.

Liste de francs-maçons du Parti Socialiste

Comme la toujours dit Q, le commandement militaire, pour connaître notre ennemi faut-il l’avoir identifié et pour le combattre mes amis voici une première liste non-exhaustive. Vous le comprendrez bien, cette liste va de l’extrême gauche à l’extrême droite et va déranger au plus au point comme la liste de pédophiles jugés en France postée dans cet article ici, qui nous a value tellement de censure chez Qactus et de mauvaise notes par leur deep-state corrompus de journaliste comme Newsguard. Nous avons une liste explosive de milliers de personnes francs-maçonne qui va vous exploser tellement les neurones que vous pensiez suivre de bon samaritain qui ne voulait que votre bien (vaccin ou autres mensonges expliqués les yeux dans les yeux), sauf que voilà comme disait une personne que vous connaissez très bien :  » Tous les francs-maçons ne sont pas satanistes, mais tous les satanistes sont francs-maçons » voilà une phrase digne de paroles, en plus de la liste nous voulions aussi vous montrer que la France est baignée dans ce système et que nous allons devoir nous réveiller au plus vite et au plus haut point Très, Très, Très rapidement pour libérer notre terre, la France qui est considérée comme la dernière à être sauvé du monde maléfique. Voir l’article ci-dessous après la première liste divulguée. Les ET ne sont peut-être pas partout mais les Franc-Maçons eux sont partout, libérons notre pays de ces monstres maléfiques qui non que pour Dieux leur satanisme, libérons-nous de ce mal qui gangrène notre pays depuis des décennies, en les exposant au plus grand jour maintenant et une fois pour toutes.

Voir un autre Article Qactus ICI sur ces satanistes

france maçonnique

Anciens ministres et conseillers francs-maçons du PS :

– François Hollande (président de la république), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF) et Young Leader.
– Jean-Marc Ayrault (premier ministre) : en 2008, maire de Nantes, il fait voter une subvention de 400 000€ destinée à la rénovation et à l’agrandissement du local servant aux réunions de 7 loges maçonniques
– Manuel Valls (ministre de l’intérieur), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)
– Christiane Taubira (ministre de la justice), franc-maçonne membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)
– Pierre Moscovici (ministre de l’économie et des finances), ancien membre de la LCR (Ligue Communiste Revolutionnaire) et Young Leader
– Najat Vallaud-Belkacem (ministre des droits des femmes), Young Leader
– Arnaud Montebourg (ministre du redressement productif), franc-maçon membre du Grand Orient de France (GODF) et Young Leader
– Michel Sapin (ministre du travail), franc-maçon membre du Grand Orient de France (GODF)
– Vincent Peillon (ministre de l’éducation nationale), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF), ancien membre du Comité communiste pour l’autogestion
– Jérôme Cahuzac (ancien ministre du budget), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Jean-Yves Le Drian (ministre de la défense), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Stéphane Le Foll (ministre de l’agriculture), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Marylise Lebranchu (ministre de la réforme de l’État, de la décentralisation et de la fonction publique) franc-maçonne, ancienne membre du PCMLF (Parti communiste marxiste-léniniste de France)
– Anne-Marie Escoffier (ministre déléguée chargée de décentralisation), franc-maçonne membre du Parti Radical de Gauche et de la Grand Loge Féminine de France (GLFF)
– Fleur Pellerin (ministre déléguée chargée des petites et moyennes entreprises, de l’innovation et de l’économie numérique), Young Leader
– Benoît Hamon (ministre délégué à l’économie sociale et solidaire et à la consommation), franc-maçon
– George Pau-Langevin, (ministre déléguée à la réussite éducative), franc-maçonne
– Michèle Delaunay (ministre déléguée aux personnes âgées et à l’autonomie), franc-maçonne
– Frédéric Cuvillier (ministre délégué aux transports), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Marc Mancel (conseiller de la ministre George Pau-Langevin), franc-maçon membre du Grand Orient de France (GODF)
– Christophe Chantepy (directeur de cabinet de Jean-Marc Ayrault), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Alain Simon (contrôleur général au ministère de l’économie), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Alain Vidalies (Ministre en charge des relations avec le Parlement), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Aquilino Morelle (conseiller de François Hollande), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF) et Young Leader
– Cédric Lewandowski (directeur de cabinet de Jérôme Cahuzac), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Victorin Lurel (Ministre délégué en charge de l’Outre-Mer), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)
– Renault Vedel (directeur adjoint de cabinet de Manuel Valls), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)
– Alain Bauer (conseiller officieux de Manuel Valls), franc-maçon haut gradé, ancien Grand Maître du Grand Orient de France (GODF)
– Yves Colmou (conseiller de Manuel Valls), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)

Anciens francs-maçons du Sénat :

– François Rebsamen (président du groupe PS au Sénat), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Jean-Pierre Sueur (sénateur PS du Loiret et président de la commissions des lois), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Claude Domeizel (sénateur PS des Alpes-de-Haute-Provence), franc-maçon du Grand Orient de France
– Gérard Collomb (sénateur maire de Lyon), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Michèle André (sénatrice PS du Puy-de-Dôme), franc-maçonne, vice-présidente de Fraternelle Parlementaire et membre de la secte maçonnique du Droit Humain
– Robert Navarro (sénateur PS de l’Hérault), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)

Anciens francs-maçons à l’Assemblée nationale et dans les collectivités locales :

– Henri Emmanuelli (député PS des Landes), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Christian Bataille (député PS du Nord), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Pascale Crozon (députée PS du Rhône), franc-maçonne, vice-présidente de la Fraternelle Parlementaire
– Pascal Terrasse (député PS de l’Ardèche), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Oliver Dussopt (député PS de l’Ardèche), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Brigitte Bourguignon (députée PS du Pas-de-Calais), franc-maçonne
– Odile Saugues (députée PS du Puy-de-Dôme), franc-maçonne
– Patrick Menucci (député PS des Bouches-du-Rhône), franc-maçon de la Grande Loge de France (GLDF)
– Paul Giacobbi (député du PRG de la Haute-Corse), franc-maçon de la Grande Loge de France (GLDF)
– Jean Le Garrec (ancien ministre PS), franc-maçon, président du Cercle Ramadier, membre du Grand Orient de France (GODF)
– Philippe Guglielmi (premier secrétaire fédéral du PS de Seine-Saint-Denis), franc-maçon, ancien Grand Maître de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)
– Jean-Jacques Queyranne (président de la région Rhône-Alpes), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Philippe Foussier (rédacteur en chef de la revue de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains), franc-maçon du Grand Orient de France
– Jean Glavany (député PS des Hautes-Pyrénées), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Jean-Marie Cambacérès (député PS du Gard), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Jean-Michel Baylet (sénateur PRG du Tarn-et-Garonne), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Jack Lang, franc-maçon
– Daniel Vaillant (député-maire à Paris), franc-maçon
– Harlem Désir (Premier Secrétaire du Parti Socialiste), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)

Cette liste n’est bien sûr que le début d’une énorme liste non exhaustive, et le reste va suivre sur plusieurs articles tellement les liste des noms sont importantes, car vous pensez bien que nous sommes envahis par cette caste de voyou comme jamais nous l’avons été, des gens en quêtes de pouvoir, de luxure, d’argent, corrompus les uns aux autres, s’entretuant mutuellement pour monter au plus haut niveau inatteignable, ne sachant pas qu’un niveau ne sera jamais atteint, celui du 30e jusqu’au 33e, leurs malédictions, pauvre gens ayant vendus leurs âmes au diable, bloqué entre humanité qu’ils ne connaissent pas et inhumanité qu’ils ne connaitront pas non plus aux degrés sataniques du terme, bien qu’endoctriné dans leurs actes diaboliques, pauvres âmes perdue et pauvres inhumains que l’on a essayés de convertir contre les humains…

Le Pape a révélé que la Franc-Maçonnerie est du Satanisme ICI:


Nous vous transmettons la liste reçus par BATMAN des Juges et des Avocats et Huissiers et Entreprises les plus corrompus par la Franc-Maçonnerie sur l’île de la Réunion et en FRANCE!

Mes amis des milliers et des milliers de noms en notre possession, vous n’êtes pas au bout de vos surprises, il est grand temps de se réveiller avant de mourir… La France est pourrie de l’intérieur d’une force que vous ne pouvez l’imaginez, Mélenchon, Marine Le Pen, etc.. Ont fait allégeance aux francs-maçons. C’est Urgent réveiller vous tout est gangrenée.

Écouter bien cette vidéo d’acquiescement à leur idée de dingue de François Hollande.

François Hollande fait allégeance aux francs-maçons du grand Orient de France

Liste complète des participants au Dîner du Siècle du 26 février 2020 (+ rappel 2010)

Cercle de l'Union interalliée

Voici ci-dessous la liste complète des participants au 831ème Dîner du Siècle du mercredi 26 février 2020 au Cercle de l’Union interalliée (33 rue du Faubourg Saint-Honoré, juste à côté de l’Élysée).

Participants au Dîner du Siècle du 26 février 2020

Au 1er janvier 2020, Le Siècle comptait 566 membres et 161 invités. Il a été fondé le 2 septembre 1944 par Georges Bérard-Quélin, fondateur de la Société générale de presse.
Olivier DUHAMEL a succédé à Patricia BARBIZET à la tête de l’association le 01 janvier 2020.
Rappel : La dernière liste complète connue était celle du 720ème Dîner du Siècle du mercredi 27 janvier 2010 que voici :

Participants au Dîner du Siècle du 27 janvier 2010 

Conseil d’administration du Siècle depuis le 1er janvier 2020

LE PRESIDENT :

Olivier DUHAMEL
  • Président de la Fondation nationale des sciences politiques
  • Professeur émérite des universités à Sciences Po Paris
  • Chroniqueur à LCI
  • Editorialiste à Europe 1, créateur et coprésentateur de « Médiapolis »
  • Fondateur et codirecteur de la revue « Pouvoirs » (études constitutionnelles et politiques)
  • Directeur de la collection « A savoir » aux éditions Dalloz
  • Directeur de la collection « Ca fait débat » aux éditions First
  • Ancien député européen, membre de la Convention

VICE-PRESIDENTS :

Marc GUILLAUME
  • Secrétaire général du Gouvernement
  • Codirecteur de la revue « Pouvoirs »
  • Conseiller d’Etat
Mathilde LEMOINE
  • Group chief economist Edmond de Rothschild Groupe
  • Administrateur de Carrefour, CMA CGM, Dassault Aviation et de l’Ecole normale supérieure
  • Ancien membre du Haut Conseil des finances publiques
  • Professeur d’économie à Sciences Po Paris
Philippe WAHL
  • Président-directeur général du Groupe La Poste
  • Vice-président du Comité d’orientation de la Silver économie
  • Ancien maître des requêtes au Conseil d’Etat

TRESORIER :

Denis KESSLER
  • Président-directeur général du groupe Scor
  • Membre de l’Institut (Académie des sciences morales et politiques)
  • Ancien président de l’association « Le Siècle » (2008-2010

SECRETAIRE GENERAL :

Étienne LACOUR
  • Directeur de la rédaction et rédacteur en chef de la Société Générale de Presse (SGPresse)

SECRETAIRE GENERAL ADJOINT :

Marianne BÉRARD-QUÉLIN
  • Président-directeur général de la Société générale de presse (SGPresse)
  • Président de la Commission Affaires européennes de la Fédération nationale de la presse d’information spécialisée (FNPS)
  • Présidente de Femmes Forum

MEMBRES :

Patricia BARBIZET
  • Directrice générale d’Artémis
  • Vice-présidente du conseil d’administration de Kering
  • Vice chairwoman de Christie’s PLC
  • Présidente du conseil de surveillance de la Compagnie du Ponant
  • Administrateur référent de Total
  • Présidente du conseil d’administration de la Cité de la musique-Philharmonie de Paris
  • Administrateur de l’Opéra de Paris
  • Ancienne présidente de l’association « Le Siècle » (2017-2019)
Sophie BOISSARD
  • Directrice générale de Korian
  • Membre du conseil de surveillance d’Allianz SE
  • Conseillère d’Etat
Ramon FERNANDEZ
  • Directeur général délégué Finance, Performance et Europe d’Orange, membre du comité exécutif
  • Président du conseil d’administration d’Orange Bank
  • Ancien directeur général du Trésor
  • Administrateur civil
Antoine GOSSET-GRAINVILLE
  • Associé fondateur du cabinet BDGS Associés
  • Avocat à la Cour
  • Vice-président FNAC Darty, administrateur Compagnie des Alpes
  • Ancien directeur adjoint du cabinet du Premier ministre
  • Inspecteur général des finances
Nicole NOTAT
  • Présidente de Vigeo Eiris
  • Présidente du comité du label ISR (Investissement socialement responsable)
  • Ancienne secrétaire générale de la CFDT
  • Ancienne présidente de l’association « Le Siècle » (2011-2013)
Odile RENAUD-BASSO
  • Directrice générale du Trésor
  • Administratrice de Thales
  • Conseiller maître à la Cour des comptes
Pierre SELLAL
  • Ambassadeur de France
  • Président de la Fondation de France
  • Senior counsel chez August Debouzy
  • Ancien représentant permanent de la France auprès de l’Union européenne
  • Ancien secrétaire général du ministère des Affaires étrangères
Jean VEIL
  • Avocat à la cour d’appel de Paris, associé du Cabinet Veil Jourde
  • Ancien président de l’association « Le Siècle » (2014-2016)

OBSERVATEURS :

Nicolas MOLFESSIS
  • Professeur à l’université Panthéon-Assas (Paris II)
  • Secrétaire général du Club des juristes
  • Membre du conseil de surveillance des « Echos »
Augustin de ROMANET
  • Président-directeur général Groupe ADP-Aéroports de Paris
  • Administrateur référent de Scor SE, administrateur de la RATP
  • Président de Paris Europlace
  • Administrateur de la Fondation de l’islam de France
  • Président du conseil d’administration du domaine national de Chambord

Rappel quelques membres de 2010

En politique : Nicole Notat (alors présidente du Siècle), Jérôme Monod (ex-conseiller à l’Élysée), Martine Aubry (PS), Anne-Marie Idrac (alors secrétaire d’Etat au commerce), Pascal Lamy (OMC), Hubert Védrine (PS), François Baroin (alors porte-parole du gouvernement et ministre du Budget), Jean-Michel Berard (préfet), Marguerite Berard-Andrieu (conseillère technique à l’Élysée ), Xavier Bertrand (ministre de l’Emploi), Jean-Marie Cavada (eurodéputé), Olivier Dassault (député UMP), Rachida Dati (eurodéputé), Tony Dreyfus (député PS), Jean-Paul Faugère (alors directeur de cabinet du Premier ministre), Jean-Pierre Fourcade (sénateur UMP), Philippe Galli (préfet), Michel Gaudin (préfet de police de Paris), Hervé Gaymard (député UMP), Elisabeth Guigou (député PS), Hubert Haenel (sénateur UMP) , Christian Jacob (pdt du groupe parlementaire UMP), Pierre Joxe (PS, membre du Conseil Constitutionnel), Anne-Marie Lizin (sénatrice belge), Hervé Mariton (député UMP), Pierre Méhaignerie (député UMP), Catherine Nay (conseillère à l’Élysée), Françoise de Panafieu (député UMP), Pierre Steinmetz (membre du Conseil Constitutionnel), Henri Weber (PS, eurodéputé), Eric Woerth (alors ministre du Budget).

Dans le domaine médiatique et culturel : Marie-Louise Antoni (Le Monde), Olivier Nora (Grasset), Louis Schweitzer (Le Monde), Nicolas Baverez (Le Point, Le Monde), Jacques Attali, Véronique Cayla (Arte), Michèle Cotta (ex-France 2), Richard Descoings (Sciences Po), Denis Jeambar (éditions du Seuil, Marianne, IPJ), Alain Minc, Denis Olivennes (Europe 1, alors au Nouvel Obs), Alexandre Adler, Blandine Kriegel (philosophe), Pierre Assouline, Christopher Baldelli (RTL), Alexandre Bompard (Fnac, alors à Europe 1), Stéphane Boujnah (membre fondateur de SOS Racisme, dirigeant à la Deutsche Bank et à la Deutsche Securities Algeria), Takis Cadilis (Lagardère Entertainment), Monique Canto-Sperber (Ecole Normale Supérieure), Emmanuel Chain (producteur Tv), Teresa Cremisi (Flammarion), Axel Duroux (ex-TF1 et RTL), Bernard Fixot (éditions XO), Alain Genestar (Polka Magazine, ex-Paris Match) Antoine Herouard (secrétaire général de la Conférence des évêques de France) Emmanuel Hoog (INA), Serge July (ex-Libération), Julien Kouchner (CAPA), Pierre Louette (AFP), Rémy Pflimlin (France Télévisions), Sylvie Pierre-Brossolette (Le Point), Henri Pigeat (CFJ), PPDA, David Pujadas, Jean-Marie Rouart (Paris Match), Laurent Solly (TF1), Didier Quillot (Lagardère, Canal+), Nicolas de Tavernost (M6), Thomas Valentin (M6), Gérard Unger (LICRA), Lionel Zinsou (Libération /Rothschild Group).

En vrac : Jean Veil (alors avocat de Jacques Chirac), Denis Kessler (ex-vice-pdt du MEDEF), Jean-Pierre Jouyet (AMF), Marie-Hélène Berard (trésorière de la chambre de commerce France- Israël et de la Fondation Chirac), l’Allemand Joachim Bitterlich (Veolia Environnement), Christian de Boissieu (conseiller économique auprès de Matignon), Jean-Paul Costa (pdt de la Cour européenne des droits de l’homme), Anne-Marie Couderc (Lagardère Active), Denis Delmas (pdt de TNS Sofres), Jérôme Jaffré (CECOP), Philippe Delmas (ex-vice-pdt Airbus), Frank Esser (pdg SFR), Louis Gallois(pdt exécutif EADS), Benoît Genuini (médiateur national de Pôle emploi), Philippe Ingall-Montagnier (procureur général près la cour d’appel de Versailles), Georges Kiejman (avocat), Bruno Laserre (alors pdt de l’Autorité de la concurrence), Jean-Bernard Lévy (pdt de Vivendi), Thierry de Montbrial (IFRI), Christian Noyer (alors gouverneur de la Banque de France), Michel Prada (ex-AMF).


Leurs symboles, leurs cupidités, et leurs stupidités ouverte aux yeux de tous causera leurs pertes (Q).

Les francs-maçons et le vin

Par Jean-Moïse Braitber

Vin et franc-maçonnerie : « agapes » en Bourgogne…Vin et franc-maçonnerie : la recherche de la Vérité…Vin et franc-maçonnerie : des crus « de gauche »…Vin et franc-maçonnerie : petites affaires entre frères…Vin et franc-maçonnerie : entraide et solidarité…Vin et franc-maçonnerie : négociants, sommeliers…Vin et franc-maçonnerie : exit les Wine Brothers…Vin et franc-maçonnerie : une quête spirituelle…Vin et franc-maçonnerie : biodynamie et maçonnerie…Vin et franc-maçonnerie : le profane et le sacré…

Vin et franc-maçonnerie : « agapes » en Bourgogne…

Début juin 2009, dans son restaurant le Pré aux Clercs à Dijon, le chef Jean-Pierre Billoux reçoit quarante convives pour un dîner particulier. Autour de la table, une majorité d’hommes. C’est la soirée fraternelle des Amis du vin de la Grande Bourgogne. Dans le vocabulaire des francs-maçons, entendez « la soirée amicale des francs-maçons bourguignons travaillant dans le vin ».

Malgré ses fresques italianisantes, la salle tient plutôt de l’auberge espagnole, car tout ce que l’on boit vient soit de la production de chacun des convives, soit de sa cave. Pour l’apéritif, il y a d’abord les bulles d’une “sœur” champenoise. Puis, pour débuter le repas, un frère sert son modeste mâcon-cruzille, prélude à deux magnums d’une fameuse propriété de Chablis. Soudain, c’est la grande parade : un gevrey-chambertin dont l’étiquette triangulaire complète l’allusive mention “franc de pied”, puis des magnums de richebourg, mazis-chambertin, échezeaux et volnay-santenots…

Jean-Pierre Billoux n’a jamais fait mystère de son appartenance à la franc-maçonnerie. En Bourgogne comme à Bordeaux, nous ne pouvons pas en dire autant de tous. « Tout le monde sait que je suis franc-maçon, sans trop savoir ce que cela veut dire. Mais de là à m’exposer dans une revue comme la vôtre… Je travaille beaucoup avec la Belgique où les “cathos” nous perçoivent encore comme des anticléricaux enragés. Si je dévoile mon appartenance, je risque de perdre des marchés. »

Ces mots sont ceux d’un célèbre propriétaire d’un cru bourgeois du Médoc septentrionnal qui tient à son anonymat. Un paradoxe quand on sait qu’il figure en bonne place dans le livre de Magali Aimé, « Les Vignes de la franc-maçonnerie« , en vente dans toutes les librairies. Cet ouvrage cite une trentaine de producteurs. Mais bien que l’appartenance maçonnique de telle célébrité de Sancerre, de tel propriétaire d’un fameux cru de Saint-Estèphe ou de tel “châtelain” d’un grand cru de Saint-Émilion soit localement notoire, pas un de ceux dont le nom apparaît dans ce livre n’a souhaité être cité dans La RVF.

Vin et franc-maçonnerie : la recherche de la Vérité…

Alors pourquoi tant de mystères ? La franc-maçonnerie, qui se définit comme une institution « philanthropique, philosophique et progressive », est née en Angleterre à la fin du XVIIe siècle. Elle a, entre autres, pour but la « recherche de la Vérité ».

Une profession de foi admissible pour les protestants adeptes du libre examen, les juifs et les musulmans émancipés de tout dogme, mais inadmissible pour la frange conservatrice de l’Église catholique qui prétend incarner la “Vérité” par la bouche de son pape.

Au XXe siècle, le nazisme, Vichy, puis le communisme ont persécuté les francs-maçons assimilés à des suppôts du libéralisme et à des agents du complot « judéo-maçonnique ».

Pour beaucoup de francs-maçons, ces persécutions justifient la permanence du secret. Mais il ne s’agit là que d’une raison mineure. Car le mystère qui entoure la franc-maçonnerie tient à sa substance même : celle d’une société initiatique dont le sens ne peut être compris qu’à travers règles et rites permettant d’atteindre la chose la plus secrète au monde : la connaissance de soi. Et le vin dans tout ça ? Il fait partie du parcours maçonnique : symboliquement, comme dans le verre…

Au commencement était la terre. L’initiation maçonnique, qui se déroule en quatre étapes, débute par un passage dans le “cabinet de réflexion”. Un “caveau” qui symbolise la mort à l’ancienne vie et le renouveau à une vie nouvelle par le passage en terre. Une symbolique à laquelle n’importe quel vigneron est sensible. Bien des frères ont glosé sur cette symbolique durant leurs “tenues”. Certains, mêlant allègrement Dionysos, Noé, le Christ, Rabelais, la Kabbale, les Templiers en un douteux breuvage philosophico-ésotérico-religieux souvent indigeste, mais ayant la vertu de donner soif. Une prime vertu lorsque l’on sait que la symbolique du “Vin de la Connaissance” passe forcément par la connaissance profane du vin

Vin et franc-maçonnerie : des crus « de gauche »…

Rien d’étonnant, donc, qu’après Paris, ce soit à Bordeaux qu’aient vu le jour les premières loges maçonniques de France au XVIIIe siècle.

Une de ces loges, l’Anglaise 204, créée en 1732, existe toujours. Ce fut à l’origine une loge de négociants voyageurs irlandais, partisans de Jacques II, le dernier roi catholique d’Angleterre. Mais aujourd’hui, c’est dans les cercles “laïcards” ou dans les crus bourgeois “de gauche”  (lire notre article « Crus bourgeois 2009 : saint-Julien absent« ) qu’il faut chercher l’influence de la franc-maçonnerie en Bordelais.

Une présence difficile à mesurer. Car le Bordelais est fort divers. Si le Blayais et le pays de Sainte-Foy-la-Grande ont une tradition républicaine et laïque, le Sauternais et Saint-Émilion sont plus cléricaux et conservateurs. Le Médoc est à la fois l’un et l’autre, et a surtout la religion des affaires…C’est pourquoi on trouve une loge du Grand-Orient de France plutôt de gauche et laïque à Pauillac, tandis qu’un “temple” de la très traditionaliste Grande Loge Nationale de France est installé dans la splendide chartreuse du XVIIIe siècle du château Balac, à Saint-Laurent-du-Médoc.

Il existe même, à Gornac, petit village de l’Entre-deux-Mers, un temple maçonnique au domicile d’un ancien viticulteur sympathisant socialiste qui a créé son obédience : la discrète et influente Grande Loge Mixte Souveraine.

La Gironde possède aussi le seul temple maçonnique classé monument historique dans une salle du beau château de Montgenan, près de Langon. L’occasion pour la propriétaire des lieux, en rien franc-maçonne, d’écouler auprès des frères son bordeaux supérieur dont l’étiquette ornée de signes maçonniques discrets prend de ce fait une plus-value… toute symbolique, bien sûr.

Vin et franc-maçonnerie : petites affaires entre frères…

L’étiquette maçonnique. Voilà une pratique ancienne fort répandue chez les vignerons “francs-macs”. Le plus fameux d’entre eux, aujourd’hui « passé à l’Orient éternel », comme disent les “frangins”, possédait près de Sauternes un domaine au nom fabuleux : le domaine de la Gauche. Une mine pour ce viticulteur qui produisait un sauternes médiocre mais fraternellement acheté dans les loges pour ses étiquettes frappées de l’équerre et du compas.

La maçonnerie serait-elle  pour certains “francs-vignerons” l’occasion de faire de bons coups en francs-tireurs ? Serge Playa, propriétaire du château d’Esteau en Haut-Médoc, se targue de fournir le restaurant du Grand-Orient de France, rue Cadet à Paris. Ses étiquettes représentent un temple antique encadré par la lune et le soleil. « Dans ma loge, à Pauillac, on ne sert que du château d’Esteau », proclame ce Médocain chaleureux qui ne fait pas mystère de son appartenance… ni de son sens des affaires.

Jean-Claude Bernous, propriétaire près de Sainte-Foy-la-Grande, a eu moins de succès. Pionnier de la viticulture “bio” et un brin “anar”, il est membre du Grand-Orient, mais son vin n’y a connu qu’un succès éphémère. « J’ai vendu une palette de ma production au restaurant du Grand-Orient. Mais on ne m’en a pas repris. On m’a dit : “Tu n’es pas le seul à faire du vin, il faut que ça tourne”. » La généreuse vertu fraternelle s’altérerait-elle sous l’effet de l’esprit de lucre ?

Un haut dignitaire maçonnique, aujourd’hui disparu, a dit : « Les francs-maçons s’embrassent beaucoup, mais s’aiment peu ». Ce n’est pas tout à fait faux. Ils sont nombreux, ces frères, à avoir dû passer, comme Jean-Claude Bernous, par la justice maçonnique et même ordinaire pour se faire payer par d’autres frères. « La seule fois où j’ai manqué de me faire rouler, c’était par un frangin, courtier à Bordeaux, qui voulait me laisser sur le carreau avec 60 000 € de vin. » Eh oui, si la franc-maçonnerie possède sa justice de paix, c’est sans doute que la fraternité est à géométrie variable. N’en déplaise au Grand Architecte…

En principe, un franc-maçon doit « laisser ses métaux à la porte du temple ». Traduisez : tous les frères sont égaux en loge. Les affaires, l’argent, le rang social, que symbolise le métal, ne doivent pas compter durant les travaux maçonniques. Beau principe. Seulement, après les “tenues”, il y a les “agapes” que l’on prend en “salle humide”, entre autres termes du vocabulaire des francs-maçons. Et là, les métaux déposés à la porte du temple se mettent à sonner dans un assourdissant bruit de ferraille. Bref, le vin favorise l’amitié et l’amitié aide aux affaires.

Vin et franc-maçonnerie : entraide et solidarité…

Pourquoi, en effet, ne pas se servir de ses relations quand celles-ci permettent de trouver plus vite la bonne porte pour obtenir un service ? Les réseaux familiaux, d’anciens élèves ne fonctionnent pas autrement. Sauf qu’en maçonnerie, l’entraide et la solidarité sont des vertus cardinales. Alors, comme le dit un petit négociant bourguignon : « Si j’ai le choix entre faire travailler un frère et un profane, à compétence égale, je vais choisir le frère ».

Assez souvent, c’est aussi l’inverse qui se produit. On « fait rentrer » un frère parce qu’il occupe une place élevée dans le “monde profane”.

Un ancien responsable de l’Association des sommeliers de Paris raconte : « Un jour, un copain m’a demandé d’organiser un week-end dans le Bordelais pour un groupe de ses amis. J’ai préparé une visite dans le Médoc et ils m’ont invité. Au retour, ils m’ont proposé de rentrer à la Grande Loge Nationale de France. Le jour de mon initiation, j’ai été étonné de voir tous ces sommeliers et restaurateurs que je connaissais. Ça a changé nos rapports. Nous sommes devenus plus proches et humbles. J’ai vu Joël Robuchon quand il était apprenti à la loge l’Olivier. Il n’a jamais joué de sa célébrité et ne s’est pas servi de la franc-maçonnerie pour réussir. Tout comme Bernard Loiseau ».

Vin et franc-maçonnerie : négociants, sommeliers…

Mais tout le monde n’est pas comme ça. On cite tel restaurateur de Barbizon qui vit de la franc-maçonnerie. Comme il occupe un rang important à la Grande Loge Nationale de France, il s’arrange pour que les banquets aient lieu dans son restaurant ou chez son fils. Il y a aussi cet Aveyronnais, propriétaire de dix-huit brasseries parisiennes, qui organise des raouts fantastiques chez lui à Chaudes-Aigues.

Il invite jusqu’à quatre-vingt frères, tous frais payés, et leur offre un Laguiole décoré de symboles maçonniques. « Je ne crois pas qu’il fasse ça pour rien… », commente un de ses frères mais néanmoins concurrent. On cite encore une “loge d’affaires” de Bordeaux dont les membres sont tellement clients ou fournisseurs les uns des autres que si l’un d’eux « mange la grenouille », tous les autres boivent le bouillon…

Alimentaire, la franc-maçonnerie ? Sans doute. Mais pour qui et à quelle échelle dans le monde du vin ? Difficile à évaluer. Il existe bien un organisme, le Groupement interprofessionnel de tourisme et d’entraide (Gite) qui édite un annuaire recensant les francs-maçons. Un précieux outil relationnel dans lequel on ne trouve qu’une petite quinzaine de vignerons., également cités dans l’ouvrage « Les vignes de la franc-maçonnerie ». En revanche, les restaurateurs, limonadiers, négociants, cavistes et sommeliers y sont légion.

Vin et franc-maçonnerie : exit les Wine Brothers…

Et puis il y a les “fraternelles”, ces associations où les francs-maçons se retrouvent par affinité professionnelle. « Il faut être honnête, on y a fait du business », admet un franc-maçon bordelais travaillant dans la tonnellerie. Pendant des années, il a appartenu aux Wine Brothers, une fraternelle de gens du vin qui recrutait dans toute la France.

Chaque année, ses membres tenaient leur assemblée générale à Vinexpo (voir notre article : « La RVF à Vinexpo« ) ou au Salon des vins de Loire. « Nous nous y retrouvions entre copains. Nous buvions, mais nous parlions aussi affaires. Jusqu’au jour où il y a eu un gros problème entre un gars de Reuilly et un collègue des Coteaux du Giennois. Et la fraternelle s’est mise en sommeil », raconte Gérard, caviste parisien et ancien membre.

Du coup, notre tonnelier bordelais a créé une autre association élitiste, dans laquelle on ne rentre que sur vote avec boule. Comme pour une admission en loge. Une boule blanche, le candidat est admis. Une boule noire, il est “blackboulé”, dans le vocabulaire des francs-maçons. « Le but de la manœuvre est clair, tempête un vigneron de l’Entre-deux-Mers et membre du Grand-Orient. On veut donner l’impression à celui qui est admis qu’on lui a fait une fleur afin qu’il se sente redevable… »

Certains des plus grands noms du Bordelais et de la vallée du Rhône feraient partie de ce petit cercle. Impossible pourtant d’obtenir des noms… Discrétion oblige.

Vin et franc-maçonnerie : une quête spirituelle…

Mais ne caricaturons pas. Pour les vignerons qui n’ont pas fait d’études, la franc-maçonnerie permet un enrichissement intellectuel plus que financier.

« J’ai mis du temps à comprendre que certains de mes copains étaient francs-maçons, raconte Jean-Louis Huguenot, exubérant vigneron, aujourd’hui retraité, de Marsannay en Bourgogne. Je ne me doutais de rien, jusqu’au jour où l’un d’entre eux m’a proposé de rentrer. J’ai réfléchi six ans avant d’accepter. Quand on est vigneron, on n’a guère de temps pour philosopher. J’ai finalement accepté, car je ressentais le besoin de me perfectionner, de rencontrer des têtes nouvelles… La maçonnerie m’a fait comprendre ma vigne. J’ai saisi la relation entre ce qui vient d’en bas pour aller vers le haut, la symbolique des éléments. J’ai mieux compris le cycle de la vie et le respect de la nature. »

Vin et franc-maçonnerie : biodynamie et maçonnerie…

Marc Kreydenweiss, pionnier de la biodynamie (lire notre article : « Bio et biodynamie : des vins labellisés« ) en Alsace et propriétaire en Costières de Nîmes, ne dit pas autre chose. Sauf que ce n’est pas, dit-il, la franc-maçonnerie qui l’a amené à la biodynamie, mais l’inverse.

« Quand on m’a proposé de devenir franc-maçon, j’avais déjà longuement réfléchi aux équilibres naturels, à la relation spirituelle entre l’homme et son environnement. La franc-maçonnerie m’a permis de mieux comprendre ma démarche. À ce propos, il m’est arrivé une histoire extraordinaire. Chaque année, à Strasbourg, pour notre banquet fraternel, le maître des banquets avait l’habitude d’acheter le vin au supermarché. Pour le même budget, je lui ai proposé mon pinot blanc et mon costières-de-nîmes. Au début, les “frangins” n’ont rien remarqué. Puis certains ont commencé à poser des questions. Au bout du compte, on a tout bu. Les gars étaient gais tout en restant maîtres d’eux-mêmes. Et j’ai compris que les effets de l’alcool sont une adéquation entre la qualité du vin et celle de ceux qui le boivent. Le vin n’est pas fait pour la soif. Il est fait pour enrichir l’homme sur le plan spirituel dans son rapport avec l’harmonie universelle. »

Marc Kreydenweiss (photo ci-contre) exprime ici une réflexion philosophique que partagent beaucoup de francs-maçons du vin.

Alain Querre, de la Grande Loge de France, ancien propriétaire du château Monbousquet à Saint-Émilion, parle en philosophe lorsqu’il écrit dans une de ses “planches” : « Le vigneron, dans l’exercice de son art, n’a pas de dogmes à imposer. Il invite au contraire à les dépasser, à admettre que la véritable pensée est créative et n’a pas de limite… Mon cuvier m’a toujours servi de “pensoir” en me fournissant la correspondance matérielle et physique à ce qui était intraduisible en moi. Les raisins et leur transformation m’ont montré certaines lois de la vie psychique et spirituelle ».

Vin et franc-maçonnerie : le profane et le sacré…

Fin de ce récit en Bourgogne, où un vigneron de Ladoix-Serrigny nous fait entrevoir la symbolique profonde qui relie vin et franc-maçonnerie.

« Voici quelques années, la cérémonie d’“allumage des feux”, c’est-à-dire la création d’une loge, s’est faite chez moi. J’avais aménagé ma cave en temple maçonnique. À la fin de la cérémonie, j’ai ouvert une bouteille et commenté le vin de manière symbolique. Le profane et le sacré se rejoignaient dans un verre de vin, ouvrant la voie à la Vérité qui n’est rien d’autre que le partage des mots. Le vin réjouit les cœurs et rapproche les hommes dans la joie de la Fraternité. Ce secret qui loge dans une bouteille est de même nature que celui des francs-maçons : la connaissance de soi acquise dans le partage. »


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