Voici les paroles du fondateur du Grand Reset.
Ingénieur, économiste. Président et fondateur du Forum économique mondial @wef#OwnNothingBeHappy #BuildBackBetter
Un déshumanisé, cinique et dingue.
Ses plans morbides sont dans son livre intitulé Great RESET. A lire si vous voulez savoir quels sont les cinglés qui nous gouvernent et ce qu’ils veulent faire de nous. Il est l’organisateur de cela et se délecte sur tweeter du matin au soir des confinements.
En raison des restrictions sociales obligatoires, les célibataires ont plus de difficultés que jamais à se rencontrer. Comme la population mondiale n’est actuellement pas #sustainable et les taux de natalité doivent baisser, cela peut être considéré comme un résultat très positif #Covid_19 pandémie
Même si Noël sera officiellement interdit cette année, en raison de #COVID19 restrictions, il est toujours permis d’acheter un cadeau à quelqu’un. Puis-je suggérer un merveilleux,#sustainable livre, pour ceux qui savent lire? Joyeux Winterville
Le discours de Donald Trump à la conférence du Forum économique mondial aujourd’hui était très attendu. Mais c’est en fait Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du forum, qui a eu le plus d’impact dans la salle.
Publié par Lianna Brinded Europe News Editor le 26.01.2018
Après qu’un groupe ait joué sur la scène du Centre des congrès de Davos, en Suisse, avec Trump et Klaus côte à côte, Schwab a présenté le président des États-Unis avec un discours de félicitations, exprimant clairement son soutien.
« Monsieur le Président, le rôle des États-Unis et de votre direction personnelle est absolument essentiel. C’est pourquoi votre message a ici une grande pertinence. Bien sûr, je suis conscient que votre leadership fort est ouvert aux idées fausses et aux interprétations biaisées », a déclaré M. Schwab. Lorsque ses paroles ont été accueillies par des sifflements et de faibles bouffées de chaleur de l’auditoire, il a poursuivi, en parlant plus fort, « il est donc essentiel que nous, dans la salle, vous écoutions directement ».
Plusieurs participants à Davos avaient, selon la rumeur, prévu de quitter le discours de M. Trump, en représailles à ses déclarations décrivant les pays africains comme des « trous du cul ». Schwab a donné un ton plus conciliant en se référant à un précédent discours dans lequel Trump avait prononcé le mot « souveraineté » 21 fois.
Ce forum, comme il l’a presque fait pendant près de cinq décennies, devrait créer une base pour le dialogue, la coopération mondiale, et je vous cite, Monsieur le Président, « des nations souveraines fortes avec des valeurs différentes, des cultures différentes et des rêves différents ne se contentent pas de coexister, elles travaillent côte à côte sur la base du respect mutuel ».
Les remarques de M. Trump étaient modérées et sans surprise, soulignant l’importance du commerce équitable et louant les performances de la bourse américaine, et les questions prudentes de M. Schwab à M. Trump lui ont donné l’occasion de développer les succès de sa présidence. Le président a également profité d’une question sur son histoire personnelle pour réprimander la presse pour avoir publié une couverture négative, affirmant qu’il n’avait jamais fait face à de telles critiques auparavant.
Malgré le rôle de Schwab en tant que président de l’élite mondiale internationale, un groupe qui a souvent été critiqué par Trump et ses partisans les plus extrêmes, ses remarques finales ont été chaleureuses et ironiques.
« Merci beaucoup, Monsieur le Président, d’être avec nous. La communauté du Forum économique mondial qui est réunie ici sera certainement, et je vous cite la dernière partie de vos remarques, « parmi les hommes et les femmes qui travaillent dur et qui font leur devoir chaque jour, pour faire de ce monde un endroit meilleur, pour tous ». Je vous remercie beaucoup ».
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