Q SCOOP – DGSE 🇫🇷 HYPNOSE🔻 MKultra /Samuel Paty, Nice etc…

DGSE (services secret) : preuve de l’implication des hommes de l’ombre dans les événements malheureux qui touchent notre pays.

Ceci est vrai !!!! ils utilisent l’hypnose pour contrôler l’esprit de certaines personnes (fragiles, ou fraichement converties) qui suivent depuis des années afin de les contrôler et les pousser à commettre des crimes….. ils peuvent les contrôler à distance…. ils utilisent aussi des sorciers pour ça…. ou des méthodes de flasher le regard de la personne avec un téléphone…. ils utilisent des esprits (djinns en arabe) pour pousser les gens à commettre des crimes, ou les mettre en prison ou en asile psychiatrique…. ces gens qui font ça utilise l’apparence de la police, des médecins dans les hôpitaux ou asile psychiatrique….faites vos recherches sur les programmes MK Ultra, mis au point depuis la Seconde Guerre mondiale par les nazis et finis de développés aux USA. C’est le même programme utilisé pour les satanistes, les pédophiles Epstein entre autres. Beaucoup de vos stars préférées sont son programme, nous nous posons la question parfois sur l’état psychologique de macron et qu’il serait parfois sous programme, nous avons une vidéo où Bill Clinton y était avant un maquillage pour des prises de paroles important.


RÉVEILLEZ VOUS, ILS NOUS MANIPULENT !!!

Qactus vous déja expliqué cela dans cet article a lire ICI, important avant de comprendre la suite.



Les agents de la DGSE arrêtés pour tentative de meurtre auraient affirmé être en mission

Publié le 13 août 2020, 07:40

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Les agents de la DGSE arrêtés pour tentative de meurtre auraient affirmé être en mission
Image d’illustration. © MARTIN BUREAU Source: AFP

Les agents de la DGSE arrêtés et mis en examen fin juillet pour tentative d’homicide volontaire auraient confié aux enquêteurs avoir agi dans le cadre d’une mission officielle, rapporte Le Parisien dans une enquête.

Selon une enquête du Parisien, les agents de la DGSE interpellés à Créteil le 24 juillet et mis en examen pour «tentative d’homicide volontaire en bande organisée» ont affirmé aux enquêteurs avoir agi dans le cadre de leurs fonctions.

Toujours d’après Le Parisien, les «protagonistes» connus de cette affaire encore opaque seraient «trois espions, un expert en faux documents, un spécialiste de la sécurité», et la victime une «psychothérapeute, maître en hypnose et spécialiste du coaching en entreprise».

Une voiture volée, un 9 mm… 

Dans la nuit du 23 au 24 juillet, relate le quotidien régional, les deux jeunes membres du «service action» de la DGSE interpellés par la suite auraient volé une voiture porte de Vincennes en brisant une de ses vitres.

Ils se seraient ensuite dirigés à Créteil, à l’adresse de leur cible, une quinquagénaire exerçant la profession de coach-hypnotiseuse. Signalés par un voisin comme «rôdeurs», les deux hommes ont ensuite été interpellés aux alentours de 8h20 par la police.  

Ces derniers ont retrouvé dans le véhicule «des gants, des couteaux de l’armée et […] un sac rouge contenant un pistolet 9 mm avec une cartouche chambrée», précise Le Parisien.

Dans les locaux de la section antiterroriste de la brigade criminelle de Paris, où ils ont été transférés «en raison de leur habilitation secret-défense», détaille le Parisien, les agents auraient alors confié aux enquêteurs avoir agi dans le cadre d’une mission officielle pour la DGSE. L’un des deux militaires aurait par ailleurs confié, toujours selon le quotidien, qu’ils avaient ordre d’éliminer par arme à feu leur cible ce matin-là.

Un mobile encore inconnu

Le Parisien rapporte que deux autres personnes ont été interpellées les 26 et 27 juillet et que les quatre ont été mis en examen pour «tentative d’homicide volontaire en bande organisée» ou «complicité» et ont été écroués. 

Un troisième agent de la DGSE aurait lui aussi été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire. 

Pour l’heure, selon le quotidien, ni le mobile, ni le commanditaire de l’assassinat ne semblent connus. Néanmoins, note Le Parisien, «aucun des mis en examen» ne semblait connaître personnellement la victime, qui s’est dite choquée. 


Deux ex-agents secrets français soupçonnés de trahison au profit de Pékin face à la justice

publié le 6 juil. 2020, 20:55

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Deux ex-agents secrets français soupçonnés de trahison au profit de Pékin face à la justice
Une vue générale du siège de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) à Paris le 4 juin 2015 (image d’illustration). © MARTIN BUREAU Source: AFP

Notamment inculpés pour «livraison d’information à une puissance étrangère» et «atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation», deux ex-agents de la DGSE, soupçonnés de trahison au profit de la Chine, encourent quinze ans de prison.

«Traîtres», «taupes» ou encore «rats bleus», autant de qualificatifs déshonorants désignent les agents des services de renseignement français recrutés par un service étranger et retournés contre leur pays.

Henri M. et Pierre-Marie H., deux anciens agents de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) soupçonnés de trahison au profit de la Chine, sont jugés à huis clos, à partir du 6 juillet, devant la cour d’assises spécialisée en matière militaire de Paris. A la demande de l’avocate générale, le huis clos a été prononcé afin d’«empêcher la divulgation d’informations touchant à la défense nationale».

Henri M., 73 ans, cheveux blancs et clairsemés, a été le premier à s’exprimer à la barre devant la cour composée uniquement de sept magistrats professionnels habilités secret-défense. Le retraité, militaire de carrière, qui a passé une partie de sa vie en Chine, vit désormais en Alsace. 

Le second accusé, Pierre-Marie H., 69 ans, était fonctionnaire civil de défense. Cheveux blancs, vêtu d’une veste noire, il a semblé avoir du mal à entendre le président, d’après l’AFP. Il vit dans l’Eure avec son épouse Laurence H., qui est également sur le banc des accusés. C’est une retraitée du Crédit Lyonnais.

Les deux individus, qui comparaissent libres, sont jugés pour «livraison d’information à une puissance étrangère», «atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation» et «intelligence avec une puissance étrangère». Ils encourent quinze ans de prison. De son côté, Laurence H. est inculpée de «recel de bien provenant d’intelligence avec une puissance étrangère de nature à porter atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation». Le verdict sera rendu le 10 juillet.

Une affaire qui porte «atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation»

La tenue d’un tel procès pour espionnage, dont les conséquences sur l’économie, la souveraineté ou encore le savoir-faire français peuvent être lourdes, est aussi rare que sensible. D’ordinaire, les services de renseignement préfèrent régler les cas d’agents retournés en interne ou par voie diplomatique, loin des regards de la justice et de la presse.

Ainsi, les paroles du président rappellent le caractère hors-norme du dossier. «C’est une affaire qui concerne des faits portant atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation», a-t-il déclaré, après avoir accepté la demande de huis clos. «Il paraît nécessaire non seulement de protéger les personnes amenées à témoigner et d’empêcher la divulgation d’informations touchant à la défense nationale», a ajouté l’un des magistrats.

Avant lui, l’avocate générale avait évoqué un procès «rare par les qualifications, rare par la qualité des accusés, rare par la période de prévention». Et de poursuivre : «Ce sont des faits qui nécessairement vont susciter un certain émoi dans l’opinion publique : il s’agit de la pénétration d’une puissance étrangère dans le renseignement français.»

Une histoire d’amour…

Les deux anciens agents, qui se sont côtoyés au contre-espionnage de la DGSE dans les années 1990, ont été mis en examen et placés en détention provisoire en décembre 2017, alors qu’ils étaient déjà à la retraite. 

Cependant, les faits se sont déroulés vingt ans plus tôt, lorsque les deux officiers auraient été recrutés par les services chinois en deux temps. «Ces approches se sont faites sur fond de difficultés financières et de frustration professionnelle mais, sans doute également en faisant appel au ressort de la séduction», a confié un proche de l’enquête au quotidien francilien Le Parisien.

En 1997, Henri M., sinologue et diplômé en langues orientales, avait été nommé représentant officiel de la DGSE à Pékin. Il s’y installe sans son épouse restée en France. Toutefois, Henri.M avait été rappelé en France par la DGSE, sans porter l’affaire en justice, dès le début de l’année 1998, après avoir entamé une liaison avec l’interprète chinoise de l’ambassadeur. «Problème : cette jeune Chinoise rendrait compte de ses activités au puissant ministère de la Sécurité de l’Etat (MSE), le principal service de renseignement chinois, aussi connu sous le nom de Guoanbu», rapporte Le Parisien. Or, Henri M. a alors «accès à de nombreuses informations sensibles concernant les réseaux français implantés en Asie, l’identité des agents sous couverture et leurs méthodes», poursuit le quotidien francilien.

L’ancien agent secret avait pris sa retraite quelques années plus tard, et était par ailleurs retourné en Chine en 2003, où il avait épousé l’ex-interprète, avec laquelle il s’était installé sur l’île de Hainan, dans le sud de la Chine. 

… Et d’argent ?

De son côté, Pierre-Marie H., en proie à des difficultés financières et insatisfait de sa carrière stagnante à la DGSE selon Le Parisien, aurait été recruté par Henri M., alors retraité, au sein des services chinois, en servant d’intermédiaire.

Pierre-Marie H. se serait ainsi rendu à plusieurs reprises sur l’île Maurice et en Asie «pour livrer des informations sensibles à son agent traitant du Guoanbu», précise le quotidien, sans toutefois détailler la nature de celles-ci. Et de continuer : «Il repartait ensuite avec d’importants fonds en liquide. Ce manège aurait perduré, y compris après son entrée à son tour en retraite en 2016 : l’agent double aurait pris l’habitude de solliciter d’anciens collègues pour essayer de récolter de quoi satisfaire son contact…» Cependant, il s’est fait arrêter à l’aéroport de Zurich avec du liquide alors qu’il revenait de l’île Maurice.

Pourquoi ont-ils été interpellés si tard ? Il y aurait eu, selon un bon connaisseur du dossier cité par l’AFP, une faille au sein de la DGSE, et Henri M. n’aurait pas été surveillé pendant des années après son départ à la retraite. 

Quand les faits avaient été révélés, en mai 2018, les autorités françaises avaient parlé d’un cas d’une «extrême gravité». La ministre des Armées, Florence Parly, avait alors déclaré que les deux suspects étaient «soupçonnés d’avoir commis des actes susceptibles d’être qualifiés d’actes de trahison […] et susceptibles de mettre en cause les secrets de la défense nationale».

Très peu d’affaires de trahison ont été jugées devant les assises. En octobre 1997, un ancien ingénieur au Commissariat à l’énergie atomique (CEA) français, avait été condamné à neuf ans d’emprisonnement pour trahison en faveur de l’ex-KGB soviétique (désormais FSB). Il était accusé d’avoir vendu des documents secrets en 1989 et 1990.


Renseignements : deux ex-agents de la DGSE écroués pour intelligence avec une puissance étrangère.

Publié le 25 mai 2018, 09:33- Avec AFP

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Renseignements : deux ex-agents de la DGSE écroués pour intelligence avec une puissance étrangère
Dans les locaux de la Direction générale de la Sécurité extérieure, le 4 juin 2015 à Paris. (image d’illustration). © MARTIN BUREAU Source: AFP

Deux ex-agents de la Direction générale de la sécurité extérieure sont soupçonnés d’avoir été recrutés par la Chine afin d’espionner le renseignement extérieur français. Mis en examen et écroués en décembre, ils sont depuis en détention provisoire.

Des sources judiciaires et gouvernementales française ont annoncé ce 24 mai que deux ex-agents des services secrets français avaient été mis en examen pour intelligence avec une puissance étrangère, confirmant en partie des informations diffusées par la presse mettant en cause la Chine.

Ces deux ex-agents de la Direction générale de la Sécurité extérieure (DGSE), aujourd’hui à la retraite, ainsi que l’épouse de l’un deux, sont poursuivis pour des «agissements d’une extrême gravité», selon un communiqué du ministère des Armées.

Ils ont été mis en examen le 22 décembre 2017 et deux d’entre eux sont depuis en détention provisoire, selon les informations de l’AFP. L’émission Quotidien de la chaîne TMC et le quotidien Le Monde, parlent quant à eux eux de quatre personnes soupçonnées d’avoir été recrutées par les autorités chinoises afin d’espionner le renseignement extérieur français pour le compte de Pékin.

L’un des agents soupçonnés était en poste à Pékin, selon les journalistes de Quotidien, qui ne donnent pas d’éléments sur les fonctions des autres mis en cause. Cette intrusion majeure au sein de l’appareil d’Etat a été révélée dans le cadre d’une enquête menée par un autre service de renseignement français, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).

Mais selon le ministère de la Défense, autorité de tutelle de la DGSE, c’est cette dernière qui a elle-même découvert le pot aux roses. «Ces agissements d’une extrême gravité ont été détectés par ce service qui a porté à sa propre initiative ces faits à la connaissance du procureur de Paris», a ainsi fait savoir le ministère.

Deux des trois suspects sont poursuivis pour «livraison à une puissance étrangère d’informations portant atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation» et «compromission du secret de la Défense nationale», selon la source judiciaire. «L’un d’eux a également été mis en examen du chef de provocation directe au crime de trahison», a-t-elle ajouté.

Une troisième personne – vraisemblablement l’épouse – a été mise en examen pour «recel des crimes et délits de trahison» et placée sous contrôle judiciaire, selon la même source. Les faits reprochés «constituent un point d’attention majeur pour la DGSE comme pour tous les services de contre-espionnage français, qui font preuve d’une très grande vigilance dans la détection et l’entrave de ces menaces», a souligné le ministère des Armées sans plus de précisions.


Source 1: RT

Source 2: RT

Source 3: RT

Source 3: Browk Olee TV