Q ALERTE – Hillary Clinton doit comparaître par téléconférence le 2 juin à 9h30 (heures de Washington D.C.).

Peu importe ce que les démocrates font pour changer le narratif, n’oublions pas que demain 2 juin à 9h30 (heures de Washington D.C.), Hillary Clinton doit comparaître par téléconférence pour répondre aux questions demandées par Judicial Watch concernant son utilisation illégale d’un serveur privé de courriels pour ses fonctions gouvernementales. La sorcière de Chappaqua a essayé longtemps de se sauver de ça et malgré tous ses appels, un juge la force à répondre aux questions.Si je comprends bien, on pourra l’écouter en direct (bit.ly/3gCLqLk).
Voici le communiqué de presse de Judicial Watch:=-=-=(Washington, DC) Judicial Watch a annoncé aujourd’hui qu’une audience se tiendra le mardi 2 juin, par téléconférence, à la Cour d’appel américaine pour le circuit du district de Columbia, concernant les efforts de l’ancienne secrétaire d’État Hillary Clinton pour éviter de témoigner, sous serment, sur ses courriels. L’ancienne cheffe de cabinet de Clinton, Cheryl Mills, cherche également à éviter de témoigner.
La cour d’appel examine la demande extraordinaire de Clinton et Mills, connue sous le nom de « petition for writ of mandamus », d’annuler une ordonnance émise par le juge Royce C. Lamberth de la Cour de district des États-Unis leur demandant de témoigner.
Mme Clinton fait valoir qu’elle ne devrait pas avoir à témoigner parce qu’elle est une ancienne fonctionnaire de haut niveau et que l’affaire est sans objet car le FBI a déjà essayé de récupérer ses courriels auprès de diverses sources lorsqu’il a enquêté sur des allégations selon lesquelles des informations classifiées étaient stockées ou transmises de manière inappropriée sur le serveur de courrier électronique personnel qu’elle utilisait à l’État. Selon Judicial Watch, ni Clinton ni Mills n’ont démontré qu’ils ne devraient pas avoir à suivre les règles d’appel ordinaires pour contester l’ordonnance de la cour de district et que l’affaire n’est pas sans objet. Judicial Watch soutient que l’effort du FBI n’a pas été exhaustif, comme l’a démontré la découverte d’une trentaine de courriels supplémentaires de Clinton à la fin de l’année dernière, entre autres développements, et que d’autres courriels peuvent être récupérés si l’État est tenu de les rechercher.


L’audience se déroule devant la Cour d’appel américaine pour le circuit DC :
Date : Mardi 2 juin 2020
Heure : 9h30 ET
Localisation : Les plaidoiries téléphoniques et orales peuvent être entendues sur le site web de la Cour
Cette audience fait partie d’un procès intenté en vertu de la loi sur la liberté de l’information (Freedom of Information Act – FOIA) qui vise à obtenir des documents concernant « des points de discussion ou des mises à jour sur l’attaque de Benghazi » (Judicial Watch contre le Département d’État américain (No. 1:14-cv-01242)). En 2014, Judicial Watch a découvert des « points de discussion » créés par la Maison Blanche d’Obama montrant que les déclarations sur l’attentat faites à la veille des élections de 2012 par Susan Rice, alors conseillère à la sécurité nationale, étaient trompeuses, voire fausses. Ce procès en vertu de la loi sur la liberté de l’information a conduit directement à la divulgation du système de messagerie électronique de Clinton en 2015.
Le 2 mars 2020, le juge Lamberth a accordé à Judicial Watch une communication préalable qui comprend le témoignage de Clinton et de Mills, sous serment, concernant les courriels de Clinton et l’existence de dossiers sur l’attaque de Benghazi. En avril, Judicial Watch et le Département d’Etat, qui est représenté par des avocats du Département de la Justice, ont déposé des réponses s’opposant à la demande de Clinton et Mills d’annuler l’ordonnance exigeant leur témoignage. Le tribunal de première instance a estimé que le témoignage de Clinton était nécessaire :
La Cour a examiné les nombreuses fois où la secrétaire d’État Clinton a déclaré qu’elle ne pouvait pas se rappeler ou se souvenir de certains détails dans ses réponses antérieures à l’interrogatoire. Dans une déposition, il est plus probable que l’avocat de la plaignante puisse utiliser des documents et autres témoignages pour tenter de lui rafraîchir la mémoire. Ainsi, pour éviter le résultat insatisfaisant et inefficace de multiples séries d’interrogatoires infructueux et pour rapprocher cette affaire vieille de presque six ans de sa conclusion, Judicial Watch sera autorisé à clarifier et à approfondir les réponses de la secrétaire d’État Clinton en personne et immédiatement après qu’elle les ait données. La Cour est d’accord avec Judicial Watch – il est temps d’entendre directement la secrétaire d’État Clinton.
En décembre 2018, le juge Lamberth a ordonné la communication de documents pour déterminer si l’utilisation par Mme Clinton d’un serveur de messagerie privé avait pour but d’éviter la violation de la loi sur la liberté d’information, si l’intention du Département d’État de régler cette affaire fin 2014 et début 2015 était de mauvaise foi et si le Département d’État a recherché de manière adéquate les documents répondant à la demande de Judicial Watch. Le tribunal de première instance a également autorisé la découverte de la controverse de Benghazi qui a motivé la dissimulation du courriel de Clinton. Elle a statué que le système de messagerie électronique de Clinton était « l’une des plus graves infractions modernes à la transparence du gouvernement ».

Source:

Judicial Watch: Appellate Court Hearing on Clinton Email Testimony Tuesday – Hillary Clinton Seeks to Block Court Order Requiring Her to Testify